Un programme de concert réussi, c’est un programme qui rend justice à la qualité de la musique, qui inspire au plus haut point les musiciens, qui plonge le public dans un état particulier, et qui enfin permet aux auditeurs et aux artistes de communier au travers de l’art et de l’émotion, comme un écho.
Selon le dictionnaire, une chimère est un bel animal… qui n’existe pas. Un être ou objet bizarre composé de parties disparates. Un projet séduisant, mais irréalisable. Vouloir trouver des complémentarités entre le répertoire médiéval de l’ensemble Céladon et l’univers contemporain d’Odyssée ensemble & cie aurait en effet pu rapidement être classé dans la catégorie des fausses bonnes idées. Mais voilà, dès les premières répétitions l’évidence s’est imposée : ça marche !
La poésie qui émane de cette rencontre s’avère même d’autant plus puissante qu’elle est fragile et inattendue. Le point de ralliement de ces deux univers se situe dans le souffle qui anime cet instrumentarium bigarré constitué de flûtes médiévales, cor des alpes, trombone basse, organetto, chant... Seules les percussions de Claudio Bettinelli (saladiers, jouets en plastique…) viennent taquiner l’unisson général : juste ce qu’il faut d’impertinence pour éviter que l’inattendu ne devienne routine.
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SÉLESTAT HAUT-KOENIGSBOURG
2 Place du Dr Maurice Kubler
Maison du Parvis
67600 SELESTAT
Chimère
Un programme de concert réussi, c’est un programme qui rend justice à la qualité de la musique, qui inspire au plus haut point les musiciens, qui plonge le public dans un état particulier, et qui enfin permet aux auditeurs et aux artistes de communier au travers de l’art et de l’émotion, comme un écho.
Selon le dictionnaire, une chimère est un bel animal… qui n’existe pas. Un être ou objet bizarre composé de parties disparates. Un projet séduisant, mais irréalisable. Vouloir trouver des complémentarités entre le répertoire médiéval de l’ensemble Céladon et l’univers contemporain d’Odyssée ensemble & cie aurait en effet pu rapidement être classé dans la catégorie des fausses bonnes idées. Mais voilà, dès les premières répétitions l’évidence s’est imposée : ça marche !
La poésie qui émane de cette rencontre s’avère même d’autant plus puissante qu’elle est fragile et inattendue. Le point de ralliement de ces deux univers se situe dans le souffle qui anime cet instrumentarium bigarré constitué de flûtes médiévales, cor des alpes, trombone basse, organetto, chant... Seules les percussions de Claudio Bettinelli (saladiers, jouets en plastique…) viennent taquiner l’unisson général : juste ce qu’il faut d’impertinence pour éviter que l’inattendu ne devienne routine.