Le parc de la Léonardsau s'étend sur 9 ha, dans un lieu-dit où se pratiquaient depuis 1812 le lavage et le blanchiment des toiles de lin sur des prairies qui, auparavant, appartenaient à la collégiale de St Léonard. Il fut élaboré entre 1896 et 1930 pour le baron Albert de Dietrich, en même temps que fut construite la demeure. Le grand parc à l'anglaise est précédé d'un microcosme de jardins, répondant à l'architecture éclectique du “château” qui l'entoure. Ce jardin remarquable reflète la personnalité de son maître d'ouvrage et le style de deux grands paysagistes, Edouard André et Jules Buyssens, qui sont intervenus dans sa composition.
Le parc de la Léonardsau s'étend sur 9 ha, dans un lieu-dit où se pratiquaient depuis 1812 le lavage et le blanchiment des toiles de lin sur des prairies qui, auparavant, appartenaient à la collégiale de St Léonard. Il fut élaboré entre 1896 et 1930 pour le baron Albert de Dietrich, en même temps que fut construite la demeure.
Le grand parc à l'anglaise est précédé d'un microcosme de jardins, répondant à l'architecture éclectique du “château” qui l'entoure. Ce jardin remarquable reflète la personnalité de son maître d'ouvrage et le style de deux grands paysagistes, Edouard André et Jules Buyssens, qui sont intervenus dans sa composition.