Les remparts sont édifiés entre 1675 et 1691 sur ordre de Louis XIV par Jacques Tarade, d’après des plans de Vauban. Ils suivent un tracé proche de celui de l’enceinte médiévale.
Trois portes monumentales, la porte de Strasbourg, conservée, la porte de Brisach et celle de Colmar, ouvrent la ville sur l’extérieur. Ces fortifications subissent victorieusement deux sièges en 1814 et 1815, mais sont démantelées à partir de 1874, après la prise de la ville par les Allemands.
Des remparts proprement dits subsistent aujourd’hui deux bastions au sud de la ville. L’un d’entre eux porte la commande publique d’art contemporain « Point de rencontre: le rêve » de Sarkis (1993).
Les remparts sont édifiés entre 1675 et 1691 sur ordre de Louis XIV par Jacques Tarade, d’après des plans de Vauban. Ils suivent un tracé proche de celui de l’enceinte médiévale.
Trois portes monumentales, la porte de Strasbourg, conservée, la porte de Brisach et celle de Colmar, ouvrent la ville sur l’extérieur.
Ces fortifications subissent victorieusement deux sièges en 1814 et 1815, mais sont démantelées à partir de 1874, après la prise de la ville par les Allemands.
Des remparts proprement dits subsistent aujourd’hui deux bastions au sud de la ville. L’un d’entre eux porte la commande publique d’art contemporain « Point de rencontre: le rêve » de Sarkis (1993).